Grain De Folie Films - (Officiellement Fermé)

par **Le Docteur** » Mar Nov 13, 2007 21:25

ben mes créations sont en cours d'écriture ou de réécriture, car je peaufine également des scénarii sorti de mon ère fundansienne.

par **Morcar** » Mer Nov 14, 2007 9:44

Je les attends avec impatience alors

par **Le Docteur** » Jeu Nov 15, 2007 0:46

Ben Chasse à L'homme, c'est inédit. CINEJEU III aussi est inédit, mais bon, pour celui là, tu t'en doute. Et j'ai la suite des aventures de Jack Warner aussi (Walken Project, L'affaire Joe Malgyos) en préparation. Continuer ce petit polar "atemporelle" me plait et le personnage a l'air de plaire.

Le prochain Try Hard sortira lorsque j'aurai mon studio de superprod. Il sera tjrs avec Bruce Syphilis, notre star.Mais c'est pas pour tout de suite, et ce sera l'ultime de la série, et aura un scénario plus conséquents que les précédents.

par **Le Docteur** » Ven Nov 16, 2007 19:14

LE 20 DECEMBRE 2008

Melinda à 22 ans. Elle suit des études d’Histoire à l’université de Poitiers. Elle n’est pas forcément la meilleure élève de sa classe, mais les études ne sont pas l’unique raison pour laquelle elle vient ici.

Monsieur René Paillet, 61 ans enseigne à sa classe toutes les subtilités de l’histoire avec passion à tous ses élèves. Son cours est réputé dans toute la région. Il n’est pas sans rappeler monsieur Keating, dans le film du « Cercle des poètes disparus ». Un prof passionné par ce qu’il fait, c’est rare de voir cela de nos jours, où les professeurs sont plutôt démissionnaires face à des élèves pas intéressés.

Malgré l’âge de son professeur, Melinda est totalement tombée sous son charme. Il faut dire qu’il dégage un certain charisme. Il pourrait être son père. Melinda n’a pas connu son père. Sa mère l’a quitté alors qu’elle était enceinte d’elle. Elle ne connaît ni son nom, ni où il est, ni si il est encore en vie.

René a bien remarqué cette élève, attentive, plus que les autres, à ces cours. Elle lui rappelle étrangement une femme qu’il a du quitter, une vingtaine d’années plus tôt.

Melinda décide de faire le premier pas. Elle se sent irrésistiblement attirer par cet homme mûr. Elle lui propose donc d’aller boire un verre dans un pub, pour en apprendre un peu plus sur lui. Les deux s’entendent à merveille, et n’hésite pas à parler de tout. De leurs vies, leurs passions et ils en arrivent à parler de leur passé.

Beaucoup de similitudes apparaissent. Le fait qu’elle n’est pas connue son père. Le fait que lui, soit parti alors que sa femme était enceinte.

Le hasard a-t-il fait rencontré deux personnes qui n’auraient jamais du être séparés ? Et si c’était plus compliqué que cela ?

Voici une histoire parlant de deux êtres qui croient être père et fille et qui se rendent compte au bout du compte, qu’il n’en est rien. Mais cela va changer leurs vies. Une belle histoire naît…

LE 17 JANVIER 2009

C'est la panique à Worms City. De plus en plus de jeunes font des actes de vandalisme dans toute la ville.

L'académie de police décide donc de recruter des civils de toutes classes sociales, afin de ramener les citoyens dans le droit chemin.

Binch, jeune vers délinquant décide, avec Earl, son ami d'enfance, de s'inscrire et de mettre l'académie de Police sans dessus dessous de l'intérieur...

Mais ce n’était sans compter sur leur chef de compagnie, le lieutenant Briocharris, qui est bien décidé à remettre sur le droit chemin ces deux graines de délinquant ou alors de les évincés du programme de formation de la police.

Seulement voilà, tout ne se passe pas comme Binch et Earl l'espéraient. En effet, leurs aptitudes, décelées chez eux par leurs supérieurs, pourraient très bien sauver la ville de nouvelles attaques de terroristes conservateurs, les "Wormsangels".

Le chef de ce groupuscule est le frère aîné de Earl : Burk qui revendique le droit à l'anarchie. C’est eux qui organise le vandalisme en montant des guildes avec les jeunes paumés des bas quartiers, profitant de leurs naïvetés pour les endoctriner à leur cause.

Earl ne sait comment réagir contre son frère qu’il a toujours craint. Mais Binch ne se laisse pas démonté. Voyant l’inefficacité de ses supérieurs et surtout de Briocharris, il décide de mener sa propre action avec Earl et d’autres cadets de leur promotion.

Binch et Earl arriveront-ils à sauver Worms City des mains de l’horrible Burk ?

(Inspiré de la série de jeu : Worms. Scénario remanié de la version sortie sur Fundanse)

par **Le Docteur** » Sam Nov 17, 2007 3:24

Afin de renflouer nos caisses et faire de bons vieux films inédits et bientôt culte, mais aussi pour pouvoir nous acheter un studio de superproduction, nous avons décider de ressortir quelques uns de nos meilleurs films, déjà culte, de notre période Fundansienne.

LE 3 JANVIER 2009

Imaginez la campagne de Bergmount dans l'état du Maine. Dans cette campagne, il y a une grande demeure de style victorienne ayant appartenue à une riche famille de l'état durant le XIXe.

La particularité de cette maison, c'est que chacun de ses propriétaires ont disparus soudainement sans laisser aucunes traces physiques ou matérielles, comme s'ils n'avaient jamais habité ici. Et ceci, toujours un vendredi 13.

2006, jeudi 12 avril

La famille Jameswood emménage. La grande maison victorienne les ravis et le paysage y est magnifique. Bob, le père est quelqu'un de bricoleur et travailleur, le Charles Ingalls des temps modernes, et veux cultiver sa terre.

Samantha, sa femme est institutrice, et a été muté dans ce comté de l'état du Maine. Quand ils cherchaient une maison pour s'installer, personne ne leur avait mentionné que cette maison était à vendre à un prix défiant toutes concurrences. Elle avait tout de suite craqué dessus. Le promoteur faisait une drôle de tête lorsqu'il lui fit signer les papiers.

Après une dure journée d'aménagement, et un bon repas, ils allèrent se coucher.

La vieille pendule sonnât les douze coups de minuit, et là, sortis des murs, des voix, des cris, des plaintes, venus d'on ne sait où...

Bob pris son vieux fusil de chasse, prêt à tirer pour défendre sa famille. Un voix se fit plus clair et criait "Sortez nous de là", d'un voix de lamentation.

Qui sont ces gens prisonnier dans un mur ? Quel phénomène fait que ces gens soient enfermés dans une maison abandonnée ?

LE 10 JANVIER 2009

22 Novembre 1963 : L'histoire de l'Amérique allait tragiquement basculée à Dallas. Le président John F. Kennedy se faisait assassiner par Lee Harvey Oswald. Du moins, c'est ce que la commission Warren en a conclu.

17 Novembre 2008 : Steve Chandlers, jeune stagiaire archiviste du Dallas Daily News, travaille au sous-sol du journal. Son rôle : classifier tous les dossiers du journal datant d'avant 1970 par informatique. Boulot qui pourrait paraitre barbant, mais qui passionne Steve.

Alors qu'il rangeait un carton de vieux journaux sur une étagère, une brique du mur se trouvant derrière tomba. Steve regarda par le trou et eu la surprise de trouver une enveloppe. Sur le dos de celle-ci, il y avait marqué : "Toute la vérité". Il n'en fallait pas plus pour piquer sa curiosité.

A l'intérieur se trouvait un vieux journal du Dallas Daily News datant du 23 Novembre 1963 qui titrait "Kennedy assassiné". Au fond de l'enveloppe se trouvaient des photos montrant la scène de l'assassinat, mais chose étrange, des clichés du balcon d'où Oswald aurait tiré. En y regardant bien, on y apperçoit le canon d'un fusil ainsi qu'une silhouette. Le tout était accompagné d'une lettre.

"Ce que tout le monde croit n'est pas forcément vérité. Lee Harvey Oswald faisait un coupable idéal, par ces appartenances préférencielles à l'URSS ainsi que le communisme. La vérité est dans cette enveloppe. Mais je ne peux rien dire sans mettre ma vie en danger. C'est pourquoi, j'ai caché cette enveloppe dans un mur, en espérant que d'ici quelques années, quelqu'un la découvre et dévoile enfin la vérité. Mais je dois mettre cette personne en garde qu'on pourra surement lui mettre des batons dans les roues."

La lettre n'était pas signée. Steve, lui, était tout excité par sa découverte. Sur une photo du journal, trois hommes ont été entourés avec un crayon rouge. En légende, leurs noms : John Marshall, Mike Garisson et Calvin Crow. Surement un indice.

20 novembre 2008 : La presse annonce la venue du président Bush à Dallas, pour négocier avec des syndicats, prévu 2 jour plus tard.

Le même jour, le Dallas Daily News recevait une lettre anonyme annonçant que le président Bush serait assassiné ce 22 novembre tout comme il avait tiré sur le président JFK, 45 ans plus tot.

D'après la police, aucunes empruntes n'ont été retrouvées sur la lettre.

Steve décide de mener son enquête et de trouver le coupable avant qu'il ne mette son plan à execution. Pour commencer il scanna la photo du balcon et des trois hommes du journal. Il en fit un agrandissement afin d'essayer d'identifier le tireur. Grace à ses connaissances en informatique, il arriva même à rendre la photo plus nette. Apparement, l'homme au fusil ne serait que Calvin Crow, mais d'après les archives, cet homme est censé être mort depuis 32 ans dans un crash d'avion.

21 novembre 2008 : Alors qu'il partait vers l'immeuble d'où le coup meutrier est parti, Steve se fait tirer dessus mais évite miraculeusement la balle. D'après la police, la balle aurait été tiré par la même arme que celle du président Kennedy...

Steve ne renonce pas pour autant et continue au péril de sa vie son enquête pour la vérité....

LE 24 JANVIER 2009

C'est l'événement du siècle.

Le plus grand concert de tous les temps va débuter. Un immense stade pouvant contenir plus d'un million de personne a été construit exprès pour l'occasion. Toutes les places, malgré le prix exorbitant demandé par le producteur du festival.

Nous sommes en 2014, au stade Millenium Show. Le public est là, attendant avec impatience le show.

Il faut dire que l’affiche avait de quoi attirer le badaud :

Ne ratez pas le 20 juillet 2014 au stade Millenium Show, à partir de 15h le plus grand concert de tous les temps.

Jusqu’à présent, ce genre de pratique pour rameuter les gens dans une salle de concert était des plus courantes. Mais ce qui était le plus étonnant, c’était le nom des artistes qui allaient se produire sur scène :

En vedettes françaises :

Daniel Balavoine
Michel Berger
Serge Gainsbourg
Claude Nougaro
Gilbert Bécaud
Claude François

Et en vedettes internationales :

Les Beatles (avec Lennon et Harrison)
Queen (avec Freddie Mercury)
Les Doors (avec Jim Morrison)
Elvis Presley
Bob Marley

Ce concert avait pour but de ne réunir que des chanteurs morts depuis quelques décennies maintenant. Comment ce prodige était-il possible ?

Les gens savent-ils que derrière tout ça, se cache un pacte maléfique entre le producteur du show, avide d’argent et Satan ?

Comment vont réagir le public et les deux Beatles vivants quand en plein milieu de « Back in USSR », Lennon et Harrison commencent a se décomposer partiellement et a attaquer la foule ?

LE 31 JANVIER 2009

Je m'appelle Clancy, Nathanael Clancy. Et je suis... chasseur de monstres.

Peut-être certains d'entre vous trouvent cela irrationnel, que les dragons, les sirènes, Big Foot ou autres animaux légendaires n'existent pas ou seulement dans les contes de fée ou dans la tête des enfants ?

Pourtant moi j'y crois. Depuis 12 ans, le jour où j'ai pu apercevoir de mes yeux le fameux monstre du Loch Ness. Je me suis dit que si lui existait, d'autres pouvaient très bien être vrais également.

Il y a deux ans, j'ai pu photographier le Yéti lors d'une expédition au Tibet. La photo a fait la une de tous les journaux, même le Time Magazine.

En ce moment, je suis sur la méditerranée. Une source m'a affirmé qu'il avait cru apercevoir une espèce de sirène. D'autres l'aurait pris pour un fou. Moi, je le crois, et je suis donc parti vers là où la créature à été aperçu la dernière fois.

Felipe, mon assistant s'occupe du bateau tandis que moi, je gère le radar.

Alors que cela faisait deux jours que nous tournions en rond dans le secteur, une nuit, j'entendis un chant. Majestueux, somptueux. Comme jamais je n'en avais entendu auparavant. Homère avait donc raison dans son "Odyssée d'Ulysse", à la différence prêt que j'étais plus subjugué par la beauté des sons que j'entendais plutôt que d'être attiré par ce chant.

Mais cela ne dura pas longtemps. J’entendis un énorme grognement, puis un cri de femme.

J'eus à peine le temps de sortir de ma cabine que je vis un gigantesque dragon pourchasser une femme à queue de poisson.

Le hic, c'est qu'en fuyant, la sirène se dirigeait vers notre embarcation ce qui ne présageait rien de bon pour moi et Felipe. Je sentais mal le choc entre notre frêle esquif et ce dragon qui devait bien peser sa demi tonne, a vu de nez.

Alors que Felipe réussit, au dernier moment, à éviter la bestiole, la sirène, elle, avait réussi à sauter sur notre embarcation…

par **Le Docteur** » Sam Nov 17, 2007 3:44

Films prêts à sortir disponibles pour les votes

Films à l'affiche

Films archivés, plus à l'affiche

par **Le Docteur** » Dim Nov 18, 2007 8:21

En cette fin d'année 2008, nous sommes fier de finir dans le top 10 des producteurs de Gerardmerveille, malgré une absence de quelques semaines. (7ème à l'heure où j'écris)

Notre objectif pour l'année 2009 : FINIR PREMIER !!!

Il n'en sera pas autrement !!! Nous allons mettre fin à la suprémacie Morcardienne, MMPienne, Generalpicturienne et Warnerienne, tout en n'oubliant les Walken et consorts.

Fini la rigolade pour ces grands producteurs. C'est le début d'une nouvelle ère !!! Celle de Grain de folie films, qui écrasera, telle de vulgaires petites fourmis, les producteurs qui oseront se mettre en travers de son chemin.

Si je perd ce pari, je promet de mettre une photo de mes fesses pour montrer ma honte !!! Si je réussi, par contre, les temps de rigolade seront terminé !!! Je rachèterai tous les studios, et virerai tous ces producteurs, amateur de cigare en barreau de chaise et règnerait en maitre sur Gerardmerveille !!!!....

Ceci était un communiqué officiel de notre président directeur général en chef que nous vénérons tous : Perceval Grain. Gloire à lui, O grand Grain de notre folie douce !!!!

par **Le Docteur** » Lun Nov 19, 2007 17:34

Nos studios viennent de signer un contrat d'exclusivité avec M Night Shyamigan qui réalisera pour nous une séries de 5 films historiques racontant la vie de la famille de notre Président Directeur Général : Perceval Grain, de 1900 à nos jours. Le premier opus est en cours de tournage. Il s'appellera tout simplement 1900-1920 consacré à Eugène Grain. Il montrera la guerre de 14-18 ainsi que la vie de cette époque.

Nous espérons que ces cinqs films auront un succès auprès du public.

Contrairement à nos autres productions où notre pdg apparait où qu'on parle de lui, cette série ne sera pas une comédie, mais bel et bien quelque chose de sérieux. Notre président veux montrer par ces films toute l'évolution d'un monde en perpétuel changement.

LE 7 FEVRIER 2009

Tout tourne autour de moi. Je ressens les choses bouger. La planète tourner sous mes pieds. Je sens la force de la gravité… C’est chaque fois la même chose. J’arrive à un nouvel endroit, une nouvelle époque… A chaque fois…

Je n’ai pas de nom. Les légendes qui parlent de moi, ou plutôt de nous sont « les accompagnateurs. ». Notre rôle : Partager les trois derniers jours de la vie d’une personne en phase terminale. Lorsque que je dis « phase terminale », c’est des personnes qui vont mourir d’une façon quelconque dans les trois jours sans qu’ils ne le sache. Les personnes que nous accompagnons dans leurs derniers instants sont des gens qui ont fait de bonnes choses dans leur vie, des gens au cœur pur. Nous faisons tout pour que leur fin soit des plus belle.

Nous devons, pour cela, réprouvé nos sentiments envers les personnes que nous accompagnons, devenons leurs amis, leur faisons vivre les meilleurs moments qu’ils puissent attendre, et ils meurent, en ayant réaliser l’un de leurs rêves.

Cela fait une éternité que je fais ceci. Avant j’étais un homme. J’avais un nom : Caius Paladium. Je suis né en 59 avant celui que vous avez pris pour le fils de Dieu… En fait, un homme comme les autres. Je suis né à Rome, au temps de la splendeur de l’empire Romain. Le jour de mes trente ans, une lumière venu du ciel m’a enlevé et emmené dans un endroit tout noir. Une voix venue de nulle part m’a expliqué ce qu’étaient les « accompagnateurs » et le rôle qu’ils avaient. La voix m’offrait l’immortalité si j’acceptais de devenir l’un d’eux. Ma femme était morte d’une maladie deux mois auparavant. Rien ne me retenais sur cette terre. Je n’ai jamais vu l’un de mes confrères. Si ça se trouve, je suis le seul…

Et depuis presque 21 siècles, je rends la fin de vie d’hommes et de femmes qui l’ont mérité, aussi belle qu’elle soit. Mon premier fut un philosophe romain, qui fut lapidé pour avoir pris la défense d’une femme violé que personne ne voulait croire, étant donné que c’était une prostituée. C’était un brave homme. Son rêve à lui était de connaître le sens de la vie. Je lui ai montré… J’en ai le pouvoir.

Le décor autour de moi fini de tourner. Devant moi apparaît le prochain que je devrais rendre heureux. C’était une jeune femme brune de 28 ans. Elle devait mourir dans 3 jours, assassiné par son petit ami jaloux. Elle s’appelait Eve. Son plus grand rêve était juste d’être heureuse, tout simplement. Je lisais en elle comme un livre ouvert. Elle n’aspirait à rien. Juste à vivre sa vie à 100% comme si chaque jour qu’elle vivait était le dernier.

C’est la première fois que je voyais une personne comme ça. Elle aidait dans des associations aidant les sans-abris. Elle gardait les enfants de ses amies pour qu’elles aillent s’amuser au détriment de ses propres sorties. Son petit ami la trompait souvent, sans qu’elle le sache, mais considérait qu’elle lui appartenait malgré ses infidélités.

Sur les milliers de cas dont je me suis occupé, c’est la première fois que je ne savais pas comment la rendre plus heureuse. Et plus les heures passaient, plus je m’attachais à elle. Et si pour la première fois depuis que je suis « accompagnateur », je dérogeais à la règle et que j’empêchais sa mort ? Que se passerai t’il ? Ai-je le droit de changer le destin d’une personne ?

par **Regler** » Lun Nov 19, 2007 18:21

Grain a écrit :[i]

Notre objectif pour l'année 2009 : FINIR PREMIER !!!

Il n'en sera pas autrement !!! Nous allons mettre fin à la suprémacie Morcardienne, MMPienne, Generalpicturienne et Warnerienne, tout en n'oubliant les Walken et consorts.

Fini la rigolade pour ces grands producteurs. C'est le début d'une nouvelle ère !!! Celle de Grain de folie films, qui écrasera, telle de vulgaires petites fourmis, les producteurs qui oseront se mettre en travers de son chemin.

HA OUAI ? BEN T'AS QU'A VIENS... J'VAIS L'TIENDRE ! :lol:

par **Le Docteur** » Lun Nov 19, 2007 19:44

Voici un film dont nous sommes plutôt fier, racontant la vie de ma famille. Histoire de rendre hommage à ceux qui m'ont fait. Le premier opus est consacré à Eugène, père de notre nom de famille. J'espère que là où il est, il est fier du parcours de chacun de ses descendants...

Ceci était un communiqué officiel de notre président directeur général en chef que nous vénérons tous : Perceval Grain. Gloire à lui, O grand Grain de notre folie douce !!!!

LE 24 JANVIER 2009

5…. 4…. 3…. 2…. 1…. BONNE ANNEEEEEEEEEE 1900 !!!

Les cris de joie résonnaient dans l’orphelinat à la naissance de ce nouveau siècle. 1900 devait être le siècle du progrès d’après les sœurs qui s’occupaient de l’endroit.

Dans un coin de la pièce, Eugène, 5 ans, ne fête pas la nouvelle année. Il est allongé sur son lit, regardant un magazine parlant de cinématographie, et des frères Lumière, dont Eugène était un grand admirateur. C’est décidé. Quand il serait grand, il ferait des films. Depuis qu’il avait vu le mois dernier une projection de « La Sortie de l'usine Lumière à Lyon » avec l’orphelinat, il ne pensait qu’à ça. Des idées foisonnaient dans sa tête. Le fait de capturer les instants d’une vie était pour lui quelque chose de magique.

Eugène avait été abandonné au pied de l’église Notre-Dame de Poitiers, alors qu’il n’avait quelques jours. Le curé l’avait confié aux sœurs de l’orphelinat. On lui attribua le nom de famille de Grain, du fait que lorsque on l’a trouvé, il serrait en son petit poing, un petit grain de sable.

Eugène Grain avait grandit en harmonie avec d’autres garçons abandonné comme lui. Dès son plus jeune âge, il avait su se faire respecter de ses camarades par son intelligence assez développée pour un enfant de son âge.

En 1903, Eugène fut adopté par une riche famille parisienne. A 8 ans, il avait toujours en tête son rêve. Son père adoptif, travaillant justement aux studios Lumière, lui offrit pour son anniversaire, une petite caméra. Le petit garçon était aux anges de par le cadeau de son père. Deux ans après, Grain rentre à l’école publique. C’est l’année de la séparation de l’Etat et l’Eglise. La naissance de la Laïcité.

Les années passent, l’histoire avance. En 1909, Fernand, le père adoptif d’Eugène l’emmène à Calais pour le faire assisté au départ de Louis Blériot pour sa traversée de la Manche, jusqu'à Douvres. Il immortalisa ce moment avec sa caméra. C’est ce jour là qu’il décida de devenir journaliste cameraman, pour pouvoir diffuser sur les grands écrans des cinémas ses reportages.

Juin 1914 : A Sarajevo, l’archi-duc Louis Ferdinand, héritier de l’Empire Austro-hongrois est assassiné, lui et sa femme, par un nationaliste serbe. Evènement déclencheur d’un conflit qui allait impliquer beaucoup de nations et faire beaucoup de morts militaires et civiles.

Eugène à 19 ans lorsqu’il s’engage dans l’armée comme simple soldat, toujours sa caméra avec lui. Ses supérieurs lui autorisèrent de pouvoir filmer tout ce dont il est témoin du moment que cela ne dévoile rien sur les tactiques ou autres faits importants de l’armée française.

Eugène connu l’horreur des tranchées. Le froid, les rats, le manque d’hygiène, les poux, les bombardements. Durant plusieurs mois, il filma tout cela, espérant vivre assez longtemps pour en confier les différents films.

Lors d’une permission en Septembre 1916, pour bravoure au combat, il épouse Mathilde Mercier, jeune femme de son âge qu’il a rencontré quelques mois avant la guerre. Durant les cinq que dura sa permission, il classa ses différents films tournés durant toutes ces années. Expliqua à Mathilde que s’il devait lui arriver malheur, de conserver ces films à tout prix. Et de les confier d’ici quelques années à un musée. Il était convaincu que le cinéma serait bientôt considéré comme un art majeur, et que ces films vaudraient de l’or.

17 avril 1917, premier jour de la bataille appelé du « chemin des dames », Voulant protéger un de ces camarades, Eugène est fauché par une balle, alors qu’il partait à l’assaut du fort de Condé. Il ne survivra pas. Mathias Garcin, le camarade pour lequel il s’est sacrifié, ramassa sa camera.

Le 17 avril, Mathilde Grain accoucha d’un petit garçon : Lucien, portrait craché de son père.

En 1919, Mathilde reçu la visite d’un certain David Duvivier. Celui-ci avait dans ses bagages la caméra de d’Eugène, qui malgré la guerre était quasiment intact. Seuls les films étaient inutilisables. Duvivier lui confia que Garcin, un soldat sur le point de mourir de ses blessures de guerre lui avait demandé de ramener la caméra à la femme d’Eugène Grain à Poitiers. N’ayant pas été démobilisé plus tôt, David n’avait pu qu’attendre pour pouvoir l’emmener.

Mathilde et David sympathisèrent et devinrent très bons amis. Même s’il n’avait jamais connu Eugène, David respectait cet homme dont les hommes de son régiment lui en ont tant dit de bien.

Lucien n’avait plus son papa, mais David servit très bien de substitut, le considérant comme son fils. Sa femme, Jeannine aidait autant qu’elle pouvait Mathilde et son fils. Tout deux eurent une vie heureuse grâce à ce couple qui ne demandait rien en échange.

5…. 4…. 3…. 2…. 1…. BONNE ANNEEEEEEEEEE 1920 !!!

Les cris de joie résonnaient dans la maison des Duvivier. 1920 devait être une année prospère pour la France, d’après Jeannette. Mathilde approuvait, et David faisait sauter le bouchon d’un Champagne bon marché.

Dans un coin de la pièce, Lucien, 3 ans, ne fête pas la nouvelle année. Il est allongé sur son lit, regardant un magazine parlant de cinématographie, un des vestiges laissé par son père…

Vivez l’histoire d’une famille au cours du siècle dernier, traversant toutes les éraflures du temps, les douleurs, les joies, les pertes, les naissances. Saga familiale de notre président directeur général : Perceval Grain.

par **Alexis** » Lun Nov 19, 2007 19:56

Hum tu dit que la guerre fait beaucoup de mort militaire et civil mais civil y'en a pas beaucoup du tout...

La seconde guerre mondiale oui (vu que la France a été envahie) mais pendant la 1ère , y'en a pas eu des masses :wink:

par **Le Docteur** » Lun Nov 19, 2007 20:53

danatos a écrit :Hum tu dit que la guerre fait beaucoup de mort militaire et civil mais civil y'en a pas beaucoup du tout...

La seconde guerre mondiale oui (vu que la France a été envahie) mais pendant la 1ère , y'en a pas eu des masses

Les pertes civiles, y'en a tjrs trop !!!